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Y a t-il une alimentation physiologiquement adaptée pour les humains?

Y a t-il une alimentation physiologiquement adaptée pour les humains?

La réponse est oui!




Bonjour Je souhaite partager avec vous des informations très intéressantes suite à mes lectures et les notes que j'en ai prisent concernant l’alimentation humaine afin de vous apporter des connaissances supplémentaires si vous êtes intéressé par le sujet de notre alimentation moderne qui pose problème.


De quoi à besoin notre corps?


Pour fonctionner de manière optimal est peut-être la bonne question à se poser.


Que doit-on manger pour nourrir correctement nos 100.000 milliards de cellules qui nous composent?


Ne pas tomber malade et “attraper” des maladies de civilisation.


Il existe pour le naturopathe que je suis un régime alimentaire considéré comme biologiquement adapté à l’être humain, il est dit hypotoxique, c’est à dire qu’il n’encrasse pas la mécanique du corps mais la nourrit cette mécanique et l’améliore même. C’est une véritable alimentation santé.


Nous avons des besoins nutritionnels fondamentaux et un système digestif avec des capacités spécifique pour servir de barrière entre le monde extérieur et le monde intérieur, c’est une frontière, une barrière qui filtre qui rentre et qui ne rentre pas. Mais souvent aujourd’hui cette barrière est endommagée et donc les problèmes commencent.


Il est alors important de rétablir la frontière et un équilibre. Aucune alimentation ne sera vraiment intéressante si votre système digestif qui se trouve être à l’extérieur de votre corps, bien qu’il semble être à l’extérieur! C’est une illusion, il est ouvert des deux côtés : bouche et anus et entre les deux il filtre, il travail et tout cela se passe hors du corps.


Il y a longtemps l’homme avait une alimentation qui lui correspondait bien mieux qu’aujourd’hui. Il y a un régime optimal d’alimentation qui semble remonter à il y a bien loin dans l’histoire de notre évolution.


Depuis l’antiquité on remarque que nos ancêtres sont en carences et développent beaucoup de pathologies tout en ayant principalement une alimentation basé sur la consommation de céréales.


Nous sommes à priori des animaux omnivores et toutes les études le démontrent largement, nous ne sommes ni des frugivores, ni crudivores, ni vegan par nature, par évolution des hominidés depuis des millions d’année. Nous consommons de tous, mais dans des quantités variables selon les époques et les latitudes de vie.


Il est vrai cependant d'après les études scientifiques que Homo erectus dont nous descendons possiblement par exemple consommait beaucoup de végétaux et de fruits et des fibres végétales et des vitamines, 3 à 10 fois plus que nous aujourd’hui soit 65% de sa ration alimentaire, mais il consomme aussi de plus en plus de viande pour 35% en se déplaçant vers des régions plus froides pour pouvoir faire des bonnes réserves de graisses


Homo sapiens ou l’alimentation des premiers “hommes modernes” il y a 200 000 ans en afrique, puis les migrations modifient les habitudes en quittant l’Afrique il y a 100.000 ans environ.


Ils sont à priori d’après les études, des chasseurs-cueilleurs omnivores qui consomment environ 35% de viandes et 65% de végétaux riche en fibres et pauvres en sucres pour fournir les 3000 calories nécessaires à leurs activités, cela représente 500 grammes de viande et 1500 grammes de végétaux par jour.


Ils consomment très peu de graisses saturés et pas de sucres, très peu de sel. Ils consommaient beaucoup plus de vitamines c que nous, plus de calcium et et potassium.


L’homme de Lascaux consommait beaucoup de baies comme fruits, groseilles, des noix, des noisettes, des jeunes pousses sauvages, châtaignes...


Les plantes sauvages étaient plus riches en protéines, en vitamines, en minéraux que nos céréales actuelles qui sont vides de qualités nutritionnelles pour les plus raffinées et industrialisées. et puis nous sommes très peu fait pour consommer des céréales physiologiquement parlant.


Notre régime alimentaire actuelle n’est pas basé sur nos besoins réels,


il est calé sur ce qui coûte le moins d’argent à produire pour les industriels et rapporte le plus d’argent.


Les animaux de l’époque consommaient des plantes sauvages et étaient très riches en protides et lipides de grandes qualité donnant des viandes maigres et pauvres en mauvais gras comme c’est le cas aujourd’hui.


Aujourd’hui sur terre des peuples continuent de vivre de cette manière. ancienne comme les Aïnous, les bushmen, par exemple qui vivent encore comme au paléolithique


Et puis l’homme inventa l’agriculture, les villes et les maladies qui vont avec il y a 5000 ans environ. L’alimentation change et ont commencé à consommer des céréales farineuses, des animaux plus gras, mais c’est la prédominance de l’alimentation amidonnée qui domine la ration alimentaire et avec laquelle on constate une dégradation de la santé. ON découvre alors les premières pathologies jusque là non constatée sur les squelettes étudiés : Anémies ferriprive, rachitisme à causes des lectines de blé qui bloque la vitamine D, les inflammations chroniques (trop d’oméga 6 pro inflammatoire et prostaglandines de type 2) ostéoporose dû aux carences en calcium et vitamines D

Les hommes perdent à l’époque environ 15 centimètres de taille en hauteur et ont les os moins solides, ils deviennent sédentaires.

Le travail agricole entraîne des nouveaux stress quand le chasseur cueilleur était fort en endurance et résistant.


Au néolithique les premières épidémies apparaissent à cause de la proximité avec les animaux ainsi que la sédentarisation amène le développement de germes, de tuberculose, beaucoup de maladies infectieuses n’existent pas avant cette période de sédentarisation : variole, lèpres, ténia, salmonellose, grippe, syphilis, tétanos…


la sédentarisation amène les carences, les disettes et les épidémies…


L’appauvrissement actuelle des ressources végétales dans notre alimentations n’est pas conforme à nos besoins 5 grandes céréales fournissent l’essentiel de l’alimentation mondiale actuelle.


L’homme n’est pas capable de digérer ces céréales. En 5000 à 7000 ans notre système digestif ne s’est pas adapté pour consommer ce que nous mangeons aujourd'hui principalement .


Les nouvelles habitudes alimentaires sont un désastre pour le système digestif des humains et provoquent des maladies de notre civilisation céréalière appauvris et dénaturé par le raffinage.


L’industrie agro-alimentaire détruit les aliments en y ajoutant des pesticides, des fongicides, des herbicides, des hormones.

On y ajoute en plus des conservateurs, on irradie à froids les légumes pour qu’ils se conservent on lyophilise, on congèle, on raffine et on rajoute dans les produits des vitamines et minéraux de synthèses après avoir enlevé ceux qui étaient naturels dans le produit frais.


Nous cuisson trop ce que nous mangeons : grillades, micro-ondes, goudron et molécules de Maillard, on se caramélise nous-même nos propres cellules.


Le sel est consommé en grande quantité ce qui entraîne des hypertensions artérielles et des complications cardio-vasculaires.


En moins de 200 ans nous nous sommes encore plus éloignés des produits consommé frais et naturel.





Nos organismes ne sont pas adaptés pour accepter et transformer, s’adapter aux aliments radicaux modernes et c’est pour cela qu’ils sont malades. La majorité de ce qui est vendu dans un magasin lambda n’est pas assimilable par un organisme humain et les magasins débordent de tous ces produits. Seul le rayon fruit et légumes et boucherie et poissonnerie sont encore les représentant de ce qui se mange vraiment et sous une forme brut. Le reste est une illusion alimentaire et marketing qui ne remplit aucune fonction physiologique et créé des pathologies et les scientifiques débordent d’études sur le sujet.


Obésité, surpoids, diabètes de type II, pathologies cardio-vasculaires, inflammations digestives, auto-immunes et neuro-dégénératives… La santé se dégrade énormément.


On vit plus longtemps !

Mais aussi beaucoup plus assisté par des appareils, des médicaments sans lesquels beaucoup de personnes ne survivent pas. Vivre avec un haut niveau de morbidité est une situation classique aujourd'hui! ON gère les maladies, mais sans réellement faire de santé, de prévention, en donnant de la connaissance aux individus pour se prendre en charge. Ça couterai moins cher à la sécurité sociale, mais rapporterai aussi moins d'argent à certains acteurs de marchés spéculatifs.


Il y a une dichotomie importante entre vouloir faire de la santé et vouloir gagner de l'argent, ce n'est pas compatible, la santé n'a pas de vaeur marchande et ne s'achète pas au super marché, elle s'entretiens au quotidien, faut-il encore savoir comment faire.


Retournons au maximum à l’essentiel de ce que nous sommes pour retrouver un équilibre de vie et de santé naturelle. La science et les technologies ne peuvent rien pour cela.

La vérité est ailleurs.


Pierre-Guillaume Stephan



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